Le Culte de Grain Kain.

Hrp:Certains textes sont tiré du Forum, merci a ces personnes d'ailleurs.
Et le reste fut ecrit par Freyja et moi même.Je mettrais les liens si il le faut.
Si vous avez quelque chose a dire sur ce "livre", n'hesitez pas a me pm
La vision donnait des Sombres et de leur origine dans le texte sur les kainistes est totalement subjective par rapport à l'auteur du bouquin, c'est comme une religion, certains pensent quelque chose d'autres une autre chose

Un livre avec des pages déchirées, d'autres sont volage dans le livre, ajouté ou juste arraché.

Naissance de la puissance – Le chef d’œuvre des Dieux.

Gran Kain était un dieu de destruction. Quand il vit le travail d'Einhasad, il devint curieux et jaloux. Il imita Einhasad et créa un être à sa propre image. Puis il alla voir chacun de ses enfants, pour que comme avec Einhasad, chacun insuffle à sa création, un pouvoir, une volonté. Après quelques hésitations, chacun d’eux accepta, mais ils donnèrent les restes à leur père.

Satisfait, Gran Kain pris tout ce qui lui avait été donné et cria : "Regardez la race que j'ai créée. Regardez comment elle est née de l'esprit de l'eau, du feu, de la terre et des vents. Elle sera plus forte et plus intelligente que les géants ! Elle contrôlera le monde !"

Gran Kain cria avec fierté et insuffla les esprits dans les créatures à son image. Cependant, le résultat fut désastreux. Ses créatures étaient faibles, stupides, maladroites et lâches. Tous les autres dieux dédaignèrent les créatures de Gran Kain. Submergé par la honte de son échec, Gran Kain abandonna ses créatures et disparu pour un temps. Ces êtres sont appelés humains.

Gran Kain revint alors. Et séduisant sa fille aînée, il fini par insuffler en elle la vie. Mais Einsahad, prit d’une colère féroce, bannie sa fille. Shilen donna alors naissance, dans la douleur, à des Démons, à des Dragons et dans son infinie souffrance, dans ses douleurs immenses, elle pleura. Elle pleura, alors que Einhasad l’avait dépouillée de sa position de déesse des eaux. Elle pleura des larmes noires, des larmes d’encres, des larmes sombres. Ainsi naquit la race des Elfes Noirs…
Le chef d’œuvre des Dieux. Le chef d’œuvre de Gran Kain notre père à tous !

Ces elfes à la peau noire se fondirent au cœur du peuple elfe. Fils et filles de Shilen, il semblait qu’il ne pouvait en être autrement.
Mais alors, une lutte entre les Elfes et les humains débuta. Une guerre qui dura des années, des siècles. Une guerre qui fini par lasser les sylvains et la majorité d’entre eux fini par se retirer, alors que quelques uns se battaient encore pour détruire les créatures imparfaites de Gran Kain. Une scission se fit, entre les belliqueux et les autres, plus désireux de retrouver une paix qu’ils ne connaissaient plus.
Gran Kain surveillait de loin cette lutte intestine et surtout ses enfants, son chef d’œuvre. Il décida de revêtir les traits d’un humain du nom de Dasparion. Se présentant au groupe des elfes noirs, il leur proposa de leur apprendre les secrets de la magie noir. Ils acceptèrent et Gran Kain les modela, les marqua. Il fit de ses enfants, des êtres parfaits. Il avait enfin réussi à créer une race unique, une race à son image, une race vouée à la destruction.

Valeurs des kainistes

Tout d'abord, il faut se poser cette question: Que représente Gran Kain pour ses fidèles? Pour les kainistes, il s'agit du Dieu Suprême. Celui qui est à l'origine, et qui sera à la fin de tout. Elevé au statut de Dieu de la Création avec Einhasad, il est également celui de la destruction. On se souviendra notamment de l'épisode des Géants, décimés par son marteau du Désespoir lorsque ceux-ci déclarèrent la guerre aux divinités. Gran Kain est donc un symbole de pouvoir en quelques sorte. Or comme celui à qui appartient le monde a tous les pouvoirs, toutes les possibilités, il représente également la liberté pour ses fidèles. Doué d'aucune attache, n'ayant aucune limite, c'est ainsi qu'il eut des rapport incestueux avec sa propre fille, Shillen.
C'est pourquoi, ces trois valeurs sont caractéristiques des kainistes: liberté, pouvoir et destruction.

En aucun cas, le kainiste ne doit être retenu par aucun lien. Il ne doit d'obéissance à personne, si ce n'est à Père. Il ne se laissera pas aveugler par des choses tels que les sentiments, qui, contrairement aux Shillenistes, ne sont pas une marque de faiblesse, sauf si le fidèle accepte que sa liberté soit entravée par ces liens.

Une autre différence vis-à-vis des Shillenistes: alors que ceux-ci sont régit par une société basée sur le matriarcat, les kainistes reconnaissent Shillen ET Gran Kain comme à l'origine de la création de leur race. De ce fait, les mâles et les femelles sont considérés comme étant sur un même pied d'égalité.

Pour un kainiste, servir Gran Kain, c'est faire en sorte que les ombres, les ténèbres absorbent la lumière d'Einhasad. C'est en semant la destruction sur leur passage qu'ils cherchent à parvenir à ce but. Cela se fait à partir d'agressions physiques ou morales, de manipulations destinées à gagner la confiance des futures victimes et autres.

Passons ensuite à des principes de forces et de faiblesses. Un serviteur de Père trouvera sa force en sa foi, en ses propres capacités, en sa maîtrise de soi, et dans sa volonté. La liberté, est une récompense qui s'obtient en fonction de la puissance du kainiste. La puissance peut-être celle acquise par l'entraînement, l'art de la manipulation, ou la résistance mentale.
Pour lui, la faiblesse, c'est se laisser aveugler. C'est accepter ce qui est une entrave à sa liberté.
Le kainiste ne doit en aucun cas être faible.

Une chose à ne pas ignorer...Les Kainistes ne sont pas forcement des Sombres.

« ja'hai vel'bolen dos ph' lu' dos orn tlu duul'sso saph l' su'aco
drill telanth dos d'ril tlu duul'sso zhah ulu valbyl ulu gareth jabbressen
tlu duul'sso, ol zhah tlu maglust»

(Accepte qui tu es, et tu seras libre comme le vent.
Mais dis toi bien que d’être libre s’est se lier à la plus dure des maîtresses.
Être libre c’est être seul.)

Note sur le mariage:

Le mariage, entraînant des contraintes, n'a, de ce fait, aucune valeur aux yeux de Père. Le kainiste est libre d'aimer qui il veut, autant de personnes qu'il veut et aussi longtemps qu'il le désire à la seule condition que cela ne le détourne pas de Gran Kain.
Le mariage n'aura de valeur que pour les personnes concernées, dans la mesure où il s'agit principalement d'un témoignage d'amour, ou d'une officialisation de leurs sentiments.

Valeurs du regroupement Kainiste sur nos terres.

Parmi les kainistes, j'ai entendu parlé d'un groupe se faisant appeler le Cryso Renor, qui signifie Rose Noire en Sombre, et qui avait pour coutume les choses suivantes..
Leur force réside dans notre solidarité,Leur organisation que leur hiérarchie permet d'obtenir. De ce fait, les ordres donnés doivent être exécutés, toutefois, si le kainiste exprime un désaccord, la possibilité d'un dialogue est envisageable avec son supérieur. Un compromis peut être trouvé entre la liberté d'action de chaque kainiste, et l'autorité des hauts gradés.

Shillen ayant été la fille et l'amante de Père, et donc également à l'origine de leur création, les shillenistes, au même titre que Mère doivent être respectés. En revanche, ils ne leur doivent rien. Ni soumission, ni obéissance.

Ceux se refusant à suivre la voie de Père se doivent d'être détruit. L'agression physique ou morale est encouragée, la manipulation également, restant un instrument de choix dans nos desseins.

Un Cryso ne fuit jamais, s'il part face a une provocation, ce n'est pas par peur non, cela est juste une maniere de revenir plus puissant et d'être sur de pouvoir faire face.

Les Epées de Sang, l'Akamanah, Creation de Gran Kain et Shilen.

La légende entourant l'Akamanah n'apparaissant que plus tardivement dans les textes anciens, laisse supposer que les Epées du Sang ont une histoire plus récente.

Bien que moins macabre, la légende de l'Akamanah ne lui confère cependant pas pour autant des origines moins glorieuses:

Ce serait le Dieu du Chaos en personne, Gran Kain, qui, séduit par les exploits funestes de la Zariche et de ses différents Porteurs au travers des âges, aurait forgé une lame aux propriétés similaires à partir de son propre sang.
Il la nomma Aka.
Mais bien que surpuissante, l'Aka seule ne suffisait pas à émuler Zariche. On dit que Gran Kain aurait alors laissé son ouvrage à l'abandon. Certains prétendent que c'était dans la nature du Dieu du Chaos d'avoir l'esprit changeant, et de se désintéresser promptement d'une chose pour se pencher sur une autre.
D'autres affirment qu'il l'aurait fait à dessein.
Aka fut ainsi longtemps oubliée avant que Shilen, la Déesse Déchue ne vienne à entrer en sa possession.
Voyant la finalité de l'œuvre inachevée, et la partie qui lui faisait défaut, elle sculpta à son tour une autre lame, dans son propre sang, la bénissant du nom de Manah.
Bien moins puissante que sa jumelle, Manah possédait cependant l'essence qui manquait à Aka.
Toutes deux réunies en un couple mortel d'épées duales, elles s'animèrent d'une conscience unique qui se fit connaitre sous le nom d'Akamanah, l'Epée de Sang.

Animée de l'esprit chaotique insufflé par Gran Kain au travers de l'Aka et des propriétés démoniaques héritées du sang de Shilen au travers de Manah, les nouvelles Armes Maudites apparaissent et disparaissent à volonté, avec le même caprice que Zariche.

Eternellement orgueilleuse de par ses origines, mais aussi profondément blessée de n'être que "la Seconde", Akamanah , à son tour, parcoure le monde à la recherche d'âmes corruptibles.
Une fois après avoir investi son Porteur, elle le transfigure, le façonnant de sa propre apparence, afin que seule son image se reflète dans les pupilles de ses futures victimes.

Akamanah est souvent vue comme une personnification démoniaque du désir sensuel, et tout comme Zariche, il faut rompre le contact physique entre les Armes Maudites et le Porteur pour faire prendre fin à la Possession.

Tout comme pour Zariche, la seule manière de déplacer Akamanah est d'accepter d'en devenir le Porteur, mais en faisant cela, l'individu s'expose à la Possession et toutes ses conséquences.