Cryso Renor
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Supplices et Méthodes d'Exécution

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Supplices et Méthodes d'Exécution Empty Supplices et Méthodes d'Exécution

Message  Invité Mer 18 Fév - 3:19

Tortures:


I- Les poisons:

En petites quantités, les poisons peuvent se révéler extrêmement utiles pour dénouer ou provoquer de vives douleurs, sans tuer pour autant. Leurs méthodes d'utilisation sont les suivantes:
  • -donner des coups de fouet serti de lames enduites de poison
    -faire diverses coupures plus ou moins profondes à l'aide d'une dague effilée enduite de poison
    -faire ingérer du poison en petite quantité


1- Utilisation du venin nécrosiant


Ce venin a pour propriété de décomposer les chairs (l'effet équivaut à la décomposition d'un cadavre, mais en accélérée). On ne peut le prélever que sur certaines araignées vivant dans les forêts tropicales, ou certains serpents vivant dans le désert.
Une fois le venin injecté, il faut procéder à l'inoculation de l'antidote dans les 48h maximum qui suivent sous peine de devoir amputé la victime de la zone où le poison a été injecté (ce qui arrive au bout d'une semaine, lorsque l'on parvient à voir l'os à travers la chair noircie)

Les symptômes de l'injection d'un tel venin sont les suivantes. Imaginons que la victime ait reçu ce venin dans le pouce:
  • -rougeur et gonflement de la zone au bout d'une heure.
    -le pouce triple de volume au bout d'une journée.
    -au bout de deux ou trois jours, le pouce devient complètement rouge, la zone d'injection prend une couleur blanchâtre.
    -quatre ou cinq jours après, la zone d'injection s'ouvre, dessinant une large déchirure le long du pouce.
    -une semaine plus tard, le pouce prend une couleur bleutée, la chair s'est creusée, laissant apparaître l'os. La chair à l'intérieur de la plaie est noircie.


2- Utilisation du curare


Ce poison extrait d'une liane spécifique a pour propriété de provoquer une paralysie musculaire une fois injecté dans le corps de la victime. Les nerfs ne sont pas influencés par cette substance, de ce fait, il est possible de l'utiliser afin d'immobiliser une personne avant de lui faire subir diverses blessures physiques, plus ou moins douloureuses. En revanche, une injection trop importante pourrait entraîner une crise cardiaque, c'est pourquoi il est nécessaire d'effectuer un dosage minutieux préalablement en tenant compte de la taille et de la masse de la victime.


II- La torture dite "physique"


1- Le supplice de la petite cuillère


Il s'agit en fait de verser de la poix ébouillantée dans l'oreille de la victime immobilisée à l'aide d'une petite cuillère. Elle est considérée comme étant "raffinée" par rapport aux autres méthodes de torture.
La poix est une substance visqueuse et particulièrement collante composée de goudrons et de résines. Elle est très inflammable et était autrefois utilisée à la défense de châteaux fort, les défenseurs versant des chaudrons de poix portée à haute température sur leurs assaillants, les brûlant ainsi gravement.
Dans le cas de ce supplice, la douleur est localisée au tympan qui est directement brûlé. Sans soin apportés dans l'immédiat, la victime peut éventuellement subir une perte de l'audition.

2- Le supplice de la chèvre


La victime est immobilisée en position assise sur une chaise, les jambes tendues. On verse de l'eau salée sur ses pieds, puis on amène une chèvre assoiffée devant elle. L'animal instinctivement, lui lèchera les pieds.
A première vue, cette torture semble n'être qu'une plaisanterie, mais il faut savoir que la langue d'une chèvre est très rapeuse. Viendra alors un moment où celle-ci commencera à entamer la chair. Utilisée auparavant pour arracher des aveux, même les innocents finissaient par avouer avant que l'os ne soit visible.

3- L'étau


On place les genoux de la victime dans des sortes de menottes reliées par une barre en fer parfaitement adaptée à la forme de la nuque, celle-ci étant placée derrière la tête. De même pour les mains qui seront alors placées derrière son dos, la barre se trouvant alors sous la gorge.
La victime se retrouve alors totalement paralysée, recroquevillée, les genoux relevés à l'extrême jusqu'au menton, et les bras restant derrière son dos, légèrement relevés.
Un système de bloquage empêchera toute tentative de suicide par étranglement.
La personne châtiée restera ainsi pendant plusieurs jours, subissant crampes, douleurs musculaires atroces, déformation mineure du dos, luxation de certaines articulations trop sollicitées, etc.

On peut procéder de même avec des cages suspendues au sol et particulièrement étroites. Le but est de provoquer des douleurs croissantes avec le temps.

(à utiliser lors des emprisonnements)


4- Le brodequin


La victime est assise sur un fauteuil en bois massif. On place alors quatre planches étroites et solides fermement attachées autour de ses jambes par une corde . Des coins (piques de forme pyramidale) sont ensuite enfoncés à coups de marteau entre les deux planches centrales, imprimant une force cruelle sur les jambes de l'accusé. Leur nombre varie généralement entre quatre et huit.
On peut également appliquer des bandes de parchemin humides sur les jambes du prisonnier. En approchant cette jambe du feu, le parchemin se rétracte alors violemment, causant ainsit une douleur terrible aux jambes.

5- La cure par l'eau


Elle consiste à ligoter la victime sur une planche inclinée, de façon à ce que la tête soit plus basse que les pieds. On recouvre alors la tête de la victime d'un tissu et de l'eau est versée dessus. La respiration devient, de ce fait, très difficile et la victime est mise dans l'angoisse d'une mort prochaine par asphyxie (les réflexes de suffocation s'enclenchent et une peur panique de la noyade force le prisonnier à supplier que l'on arrête le traitement.). Toutefois, aux mains de bourreaux "compétents", la noyade est improbable car les poumons sont placés plus hauts que la bouche. Cette technique est utilisée par les bourreaux qui ne désirent pas laisser de traces de leurs agissements. Un combattant aguerri tient en moyenne pendant 14 secondes.
Le but est de faire croire à la victime que nous l'exécutons, qu'elle est en train de mourir. L'instinct de survie la pousse à passer aux aveux.

6- La poire de l'angoisse


Il s'agit en fait d'un objet métallique en forme de poire. La partie la plus large est découpée en trois "quartiers" rétractables et munis d'une griffe à l'extrémité. On introduit alors l'objet dans le vagin, l'anus ou la bouche de la victime, puis, à l'aide d'un mécanisme utilisant une centaine de ressorts, on écarte chacun des quartiers de la même façon qu'un écarteur, les griffes provoquant alors de longues déchirures le long de la paroi bucale, anale ou vaginale.
Une petite clé située à l'autre extrémité permet de resserrer la poire, permettant ainsi de la retirer.
Ce châtiment est généralement employé pour les fautes d'ordre sexuel (coucher avec un non-kainiste avant le rituel par exemple)

7- La vierge de fer


On immobilise la victime dans un sarcophage en métal, les portes intérieures étant munies de pieux que l'on peut déplacer suivant la gravité des blessures que l'on souhaite infliger, voir même suivant si l'on cherche à exécuter le prisonnier.

8- L'écorchement à vif


A l'aide d'un fin scalpel, on procède à une incision de la peau sur tout le long du dos et des membres. La peau est ensuite tirée à partir de la coupure jusqu'à dans la direction opposée afin de la retirer à la victime, laissant apparaître la chair.

9- La chaise de Judas


On assoit la victime sur une pyramide à base carrée, la pointe entrant dans l'anus. Le prisonnier est poignets attachés dans le dos et suspendu à une corde tenue par le bourreau. Suivant l'humeur de celui-ci, le bourreau peut tirer sur la corde pour soulever la victime ou la relâcher un peu, la pointe s'enfonçant davantage dans le prisonnier à cause de la force de gravité.


Dernière édition par Freyja le Mer 18 Fév - 20:41, édité 1 fois
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Supplices et Méthodes d'Exécution Empty Re: Supplices et Méthodes d'Exécution

Message  Invité Mer 18 Fév - 3:43

Exécutions:


I- La mort rapide

1- L'arsenic


L'arsenic est un poison dont le mode de fonctionnement varie selon la dose injectée chez la victime.
A très forte dose, le détenu meurt en une heure environ dans de terribles douleurs. Cela se traduit par de violents maux de ventre, des vomissements, des diarrées, etc.
En revanche, injectée en petite quantité et assez régulièrement, le décès de la victime mettra des mois pour se produire, rapprochant les causes de la mort à une maladie grave.
Etant inodore et incolore, il s'agit du poison le plus populaire auprès des assassins.

2- La décapitation


Une lame soigneusement aiguisée ou une guillotine permet une décapitation rapide, un coup suffisant à trancher la tête de la victime. Elle est qualifier de mort douce, s'appuyant sur le fait que le condamné n'avait pas le temps de ressentir la douleur, or des études ont montré qu'une tête était encore consciente quelques instants après avoir été tranchée.


II- La mort à vitesse dite normale


1- La décapitation banale


Lorsqu'une hache est mal aiguisée, il faut parfois que le bourreau s'y reprenne à plusieurs reprises avant de pouvoir décapiter totalement le condamné. Il lui faudra parfois quatre ou cinq coups de haches.

2- La couronne d'épines


Il s'agit en fait d'un cercle métallique à l'intérieur duquel des piques sont pointés vers le centre. On passe le cercle autour de la tête du condamné, juste au-dessus des sourcils, puis on resserre. Les piques s'enfoncent alors dans la boîte crânienne, provoquant dans fissure dans l'ossature. Il suffit alors de tourner le cercle et de soulever pour que le sommet de la boîte crânienne se détache.

3- La vis


Le condamné s'assoit sur une chaise sur laquelle on lui menotte les poignets et le cou, les entraves étant fixées sur les accoudoirs et le dossier. Au niveau de la nuque, se trouve un large pique munit d'une vis. En faisant tourner la vis, le "clou" s'avance. La victime meurt soit en s'étranglant contre l'entrave, soit en ayant les vertèbres brisées par le clou.


III- La mort lente


1- L'empalement


Le prinicipe est simple. On introduit dans le corps un pal (bâton sur lequel les condamnés sont empalés) par le biais d'un orifice naturel ou créé à l'aide d'une dague. Le pal est alors dressé à la verticale, transperçant alors la victime. Il y a toutefois plusieurs façons de procéder.
En arrondissant le bout du pal, celui-ci au lieu de transpercer les organes et les chairs, ne fera que les repousser, rendant ainsi la mort plus lente. De même en inclinant le pieu. Le corps descendra plus lentement, faisant ainsi durer le supplice pendant plusieurs jours. Suivant l'inclinaison, on peut faire ressortir le pal par la bouche, le thorax ou l'épaule, celui-ci étant généralement introduit dans l'anus à coups de marteau.

2- Le supplice de la roue


Le condamné est attaché solidement à une roue par les pieds et les poignets. Le bourreau se charge alors de lui briser les os à l'aide d'une masse sans le tuer (bras, jambes, côtes, etc). Une fois la tâche accomplie, la victime est attachée à un poteau ou immobilisée sur le sol, livrée en pâture aux charognards (corbeaux, vautours, keltirs).

3- L'écartellement


Des cordes sont attachées aux poignets et aux chevilles du condamné, reliant chaque membre à un strider ou autre monture. On fait avancer chacun dans des directions différentes, tirant sur les membres assignés. On assiste alors à un déboitement des articulations suivit ensuite de l'arrachement pure et simple des bras et des jambes. Le condamné mourra par la perte de sang occasionnée.
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Supplices et Méthodes d'Exécution Empty Re: Supplices et Méthodes d'Exécution

Message  Invité Mer 18 Fév - 20:46

Bon, c'est à peu près tout^^ ^^!!

Je n'ai pas noté les tortures chimiques qui sont en fait basées sur la drogue (on drogue le prisonnier quelques temps avant de lui faire passer une période de sevrage très difficile) ou la torture morale (comme en suspendant une personne pendant plusieurs jours au-dessus d'une fosse de cadavres en décomposition).

Ces cas-là peuvent occasionner la folie chez les prisonniers (comme le reste d'ailleurs =/)
Enfin^^!!! J'ai noté tout ce dont je me souviens depuis ma visite en salle des tortures et mes petites recherches en matière des poisons *n'a noté que ses préférés, c'est à dire, ceux qu'elle trouve le plus insolite*

Si vous avez des idées ou des avis, n'hésitez pas ^^ ^^!!!
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Supplices et Méthodes d'Exécution Empty Re: Supplices et Méthodes d'Exécution

Message  Invité Jeu 19 Fév - 13:54

J'ai l'impression d'être au moyen âge avec toutes ses tortures, ca me fait trop penser au nom de la rose, un film sur les fanatiques religieux et inquisiteurs qui pourchassaient les infidèles..et les dépravés..
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Supplices et Méthodes d'Exécution Empty Re: Supplices et Méthodes d'Exécution

Message  Invité Jeu 19 Fév - 14:49

oui, ce sont des tortures datant de cette époque^^!! il y en a pleins d'autres bien sûr, mais je ne me souviens pas de la totalité, juste de ceux qui m'ont le plus marqué (j'avais à moitié la nausée au bout d'un moment T_T)

donc si il y a un bourreau et tout ça chez les Crysos, ça fait quelques idées de tortures à réaliser (bien sûr, un tri est à faire^^!! je doute qu'on va empaler quelqu'un et tout ça^^)
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